Tout le monde ne se vaut pas. J’ai mis plusieurs années pour m’enlever ces inepties démocratiques de la tête. Et ça a peu de choses à voir avec la race, l’ethnie, la couleur de la peau, l’orientation ou l’identité sexuelle. La véritable explication est ailleurs.
Il y a des gens qui sont bons. Il y a des gens qui sont mauvais. Ça, c’est indéniable. La plupart d’entre nous oscillons entre les deux, pris dans une grande confusion.
Ça a à voir avec la culture, au sens de doctrine sociale. Ça a donc bien sûr à voir avec la religion, et la philosophie, puisque ça a beaucoup à voir avec la spiritualité.
Ça a tout à voir avec le rapport de l’homme, comme être générique, avec le cosmos, le monde qui l’entoure. Ce qui se traduit en une certaine attitude chez l’individu particulier envers ceux qu’il considérera être (ou ne pas être) ses semblables, envers les territoires qu’il considérera être (ou ne pas être) son habitat.
Si t’es différent, comme tu dis, il va falloir que tu t’assumes, et que tu assumes toutes les conséquences qui viennent avec, et que tu arrêtes d’attendre après la société pour qu’elle t’apporte des droits et l’égalité, parce que la seule chose qu’elle nous apporte, la société, en réalité, c’est la division et le conflit, c’est des pseudo-combats de merde pour des oppressions artificielles.
Tu ne te rends pas compte que plus tu vas te battre pour des « droits » imaginaires, plus ceux-ci vont être bafoués, que plus t’essayes d’améliorer le monde dans ce sens, plus la société s’effrite ? Que plus on impose l’égalité en principe, plus la société se divise en réalité ? Que plus on réprime les points de vue antagonistes, plus ils s’expriment avec violence ? Tu ne vois pas que l’idée de progrès qu’on essaie de te faire gober mène tout droit à la dictature de la pensée, à la division et au chaos généralisé ?
« Je te considère comme un illuminé parce que je me refuse ne serait-ce qu’à envisager l’idée que le pouvoir puisse être aussi pourri que tu sembles prétendre » ne constitue pas un argument, Denise Bombardier.
C’est une idée qui m’avait « illuminé » autour de 2010 ! Je réfléchissais déjà depuis longtemps aux possibilités d’une monnaie alternative (pour faire court, disons seulement que le problème de la monnaie est plutôt central pour notre monde contemporain). À cette époque je planchais sur un système particulier d’optimisation de ressources informatiques en réseau qui prendrait en compte le coût des ressources pour les assigner de façon optimale. Comment quantifier les coûts de façon universelle sans baser tout le système sur une devise fiat en particulier ? Pour ça, ça nous prend une unité de mesure universelle dont la grandeur numéraire peut facilement être déduite de sa valeur en monnaie locale, peu importe la devise utilisée localement. Ainsi, on pourrait assigner les coûts de chaque ressource (coût du matériel amorti par unité de temps, coûts de stockage, temps CPU, utilisation de la mémoire, bande passante réseau, coûts en électricité, etc.) en utilisant un étalon de valeur universel.
Ressource économique quantifiable universelle ultime, l’énergie correspond parfaitement à une telle définition. Sa quantification en unités SI est commune et sa valeur sur le marché étant facilement vérifiable, la conversion des grandeurs de valeur est relativement simple. Se transigeant actuellement dans la magnitude des 10 cents, le kilowattheure (kWh) offre une unité de valeur qui est également proche des monnaies fiat conventionnelles.
Unité du système international, déjà connue et utilisée universellement
Valeur facilement comparable et convertible avec les monnaies fiat conventionnelles
Notation normalisée (kWh), courte et déclinable à l’envi (mWh, Wh, kWh, MWh, etc.)
Il faudra toujours produire. C’est la définition même de la vie.
Donc, le problème n’est pas la production en tant que telle.
Le problème n’est pas l’échange. Il est naturel de donner, de partager. Il est naturel de donner en retour. Là-dessus, le capitalisme n’a rien inventé.
Le problème, c’est que le rapport social s’efface dans le moyen d’échange. C’est qu’on en soit venus à trouver normal de prendre sans remercier quand on a l’argent pour se le payer. C’est qu’il soit devenu normal de se faire prendre ce qu’on a sans la moindre reconnaissance pour l’effort qu’on y a mis, parce qu’on a besoin de cet argent avec lequel on est dédaigneusement payé pour aller prendre comme son dû à un autre ce dont on a besoin pour vivre.
La vraie angoisse du monde, à l’heure actuelle, ne se situe pas, quand il est question d’avoir ou de n’avoir pas, d’être ou de ne pas être, de posséder ou ne de pas posséder, de vivre ou de ne pas vivre, au moment de l’apparition ; le moment de l’angoisse n’est pas celui de l’obtention, de l’accession, de l’acquisition, de la naissance à une réalité, de la création – tout cela est en quelque sorte célébré au grand jour, félicité, facilité. Même le manque, état qui précède l’apparition de la chose ou de l’état, est en fait un moment d’anticipation, de tension positive vers l’objectif ; c’est même, précisément, le moteur de toute l’activité sociale, la base de tout processus de valorisation.
allez vous promener dans un hopital dans la section des personnes qui ont la covid 19, ça se pourrait qu’en sortant vous alliez vous acheter un masque. Vos propos sont d’une inconscience qui me rend malade….
Judith Duguay-Tessier : Je serais bien curieux de savoir dans quel hôpital en particulier vous avez observé une telle section bondée de patients Covid-19, parce que l’Institut national de santé publique ne rapporte que 306 personnes hospitalisées Covid pour l’ENSEMBLE du Québec au 12 juillet 2020.
Gisele Médaillon : J’ai deux amis qui travaillent en milieu hospitalier, laissez-moi corriger votre assertion : Aucune POLITIQUE de santé publique n’aura jamais VIDÉ les hôpitaux de cette façon dans TOUTE L’HISTOIRE. Au plus fort de l’épidémie, l’INSPQ enregistrait un pic d’hospitalisations Covid de 1866 personnes le 12 mai… c’est le maximum qu’on a eu pour TOUT le Québec ! Et pendant ce temps on continuait de reporter tous les autres rendez-vous…
On dirait bien que vous commentez sans même avoir pris la peine d’écouter la vidéo…. Avez-vous entendu ce que dit M. Rancourt ? La surmortalité de l’hiver 2019-2020 n’est PAS SIGNIFICATIVE statistiquement comparativement aux années précédentes (les 30 dernières !). Ce n’est pas anodin. Je vous rappelle qu’on a sacré des pans entiers de l’économie par terre, qu’on a perdu nos jobs et de nombreuses PME, que nos États se sont (nous ont) endettés au-delà des oreilles, qu’on nous impose des restrictions jamais vues à la liberté individuelle… Tout ça pour une vilaine grippe ?
Qu’est-ce que ça vous prendrait de plus pour allumer qu’il y a quelque chose qui cloche ?
Vous pensez que l’épidémie n’est pas terminée ? On teste de plus en plus et malgré ça on peine à enregistrer des nouveaux cas. Le nombre d’hospitalisations est en baisse constante, le nombre de morts Covid par jour tend tranquillement vers zéro. Quelle pandémie ? Le pic de décès Covid n’était que de 150 personnes le 29 avril (en incluant 97 décès en CHSLD). Ce sont des chiffres normaux, rien d’alarmant. Saviez-vous qu’il meurt NORMALEMENT un peu plus de 66 000 Québécois par année, soit 180 par jour en moyenne ? En quoi cette « pandémie » a-t-elle été tellement significative ?
Que vous faut-il de plus pour que vous arrêtiez de vous fier à la propagande des médias de la peur ? Constatez la réalité par vous-même, ce sont les données du gouvernement : https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees
I dream of a world All my friends a’ there But som’thin’s changed
How come I still wanna love my ghetto? The worst fuckin’ place I know Even the people I care for Numbers are really low
What is it? I don’t get There’s something dirty in all that — Filthy, nasty — going ’round here And it’s not just here: It’s taken over whole America The entire world, bro!
All we should care about All our parents cared about Well, the old folks, they did care Y’all feel it’s hopeless now It’s small things, simple things The streets, the neighbourhood The school! It’s like we don’t care anymore It’s like we’ll never win It’s like we can’t care no less
Like we given up
We given up what we are We given up what makes us a community We given up what makes you somebody In the community
We’re all alone. Isolated. That can’t get us anywhere.
Rédigé le 9 juin 2020, publié ou mis à jour le 3 août 2020.