Marche de Québec 23 août 2020 : les dangereux complotistes DÉMASQUÉS !
Voyez par vous-même qui sont les dangereux complotistes du Québec ! Des milliers de SOURIRES ont déambulé aujourd’hui sur la Grande Allée en direction de l’Assemblée nationale de Québec pour manifester contre les mesures sanitaires (nettement démesurées) que le gouvernement provincial veut imposer aux enfants dans les écoles à la rentrée d’automne.
Québécois, Québécoises, réjouissez-vous de votre BELLE DISSIDENCE : des milliers et des milliers de gens incroyablement ÉVEILLÉS, ALLUMÉS, INTELLIGENTS, INFORMÉS, CONNECTÉS, CULTIVÉS, SOURIANTS, SENSIBLES, RESPECTUEUX, OUVERTS D’ESPRIT, CONSCIENTS, PACIFIQUES, MESURÉS, BIENVAILLANTS, pleins d’AMOUR, d’EMPATHIE et de COMPRÉHENSION, et résolument déterminés à faire prévaloir la VÉRITÉ et le BON SENS ! Rien à voir avec les dangereux égarés égoïstes et irresponsables guidés par des gourous conspirationnistes et sectaires qu’on nous décrit quotidiennement dans les médias dominants !
La dissidence québécoise a fait DES PAS DE GÉANT dans les derniers mois, en comprenant spontanément et collectivement plusieurs choses importantes :
- Pour se faire entendre collectivement, il faut se rallier sur l’essentiel tout en accueillant la diversité et la richesse des points de vues et des opinions
- Il n’y a pas besoin d’être d’accord sur absolument tout pour se trouver des points communs, des aspirations communes, des désirs partagés
- Écouter ce que quelqu’un a à dire, le considérer avec intelligence, ça n’a rien à voir avec l’adhésion aveugle à une secte ou à un culte
- Ça ne sert à rien d’insulter ou de traiter de tous les noms les gens qui ne pensent pas comme nous ou qui ne sont pas d’accord avec nous
- Quand on cherche la vérité, on n’a pas peur des gens avec qui on est en désaccord, au contraire : on confronte les idées divergentes avec enthousiasme et bienvaillance, car le débat nous permet de trouver des bases communes, de considérer d’autres arguments, de prendre conscience de réalités qu’on ignorait, d’apprendre de nouvelles choses, de prendre de l’assurance et de se rapprocher collectivement de la vérité
- Quand on cherche la vérité, on ne prend rien pour du cash, on apprend à rester humble, on apprend à écouter l’autre, et on apprend à reconnaître quand on s’est trompé
- C’est important de se rassembler, de se rencontrer, de discuter, d’échanger des idées, des informations et des connaissances, de débattre, de s’enrichir dans la rencontre, de se reconnaître entre nous, de nous encourager mutuellement, de se réseauter, de s’organiser par nous-mêmes
- La peur n’a jamais été et ne sera jamais bonne conseillère
- Les médias veulent à tout prix nous faire craindre un petit virus comme si c’était la peste noire ; mais ce qu’eux craignent par-dessus tout, c’est une épidémie de vérité !
- Ce qui nous unit, c’est précisément la quête de la vérité, et ceux qui la cherchent se retrouvent forcément
Et cette belle dissidence souriante ne cesse de grandir en nombre, en force, en assurance, en conscience et en conviction. Plus que jamais, nous sommes fiers d’être Québécois !
NOUS NE SERONS PLUS JAMAIS SEULS
NOUS NE SERONS PLUS JAMAIS ISOLÉS
NOUS N’AURONS PLUS JAMAIS PEUR
En réponse à un commentaire sur la vidéo YouTube du précédent billet.
Oui, la répression en France est particulièrement intense. Le contexte ici est très différent. Le Canada ne fait pas partie de l’UE et la domination idéologique est beaucoup moins implantée, moins unilatérale qu’en UE, en partie à cause de l’instabilité politique actuelle aux USA, nos voisins immédiats ; le vent peut tourner à tout moment…
Aussi, on a toujours eu historiquement 10-15 ans de retard sur le mouvement général de dégradation sociale par rapport à l’Europe, plus densément peuplée et soumise aux contrôles plus stricts de l’État (identité, liberté de circulation, système bancaire, fiscalité…). Ajoutons qu’il existe encore au Québec (heureusement) une base assez réfractaire (jusqu’ici dormante), encore dotée d’un peu de fierté, de conviction et d’un certain courage ; mais aussi, en contrepartie, une frange privilégiée et/ou subventionnée, radicalement « collabo » de l’État, frange qui détient la mainmise sur la superstructure idéologique (politique, culture, médias) — c’est notre double héritage antinomique de deux siècles de colonialisme économique britannique.
Les policiers de terrain sont pour l’instant assez sympathiques au mouvement, mais pour combien de temps ? Le gouvernement accélère actuellement les démarches pour les remplacer progressivement par des agences privées, des procédures de contrôle automatisées, drones, etc. (faut voir ce qui se passe en ce moment dans les villes démocrates : New York, Minneapolis, Chicago, Portland, San Francisco, depuis la pseudo-revendication « Defund the Police » orchestrée par BLM — au service de qui ?…). Quand la résistance deviendra un réel problème, on fera comme en France : on ré-affectera les policiers locaux trop sympathiques ailleurs, et on fera venir la gendarmerie anglophone (GRC) pour taper dans le tas et gazer à souhait, et bien faire peur aux Québécois lambda. Donc, pour l’instant, on espère simplement profiter du momentum pour faire passer le message d’une masse en éveil chez ceux qui somnolent encore. Le seuil de basculement sera déterminant pour la suite de la longue période de résistance qu’on s’apprête à vivre. Une répression trop forte, trop vite, pourrait coûter cher au pouvoir, faire bondir la dissidence en lui donnant raison avant d’avoir les moyens de la contenir.
En France (et en UE), le pouvoir n’a pas la même marge de manoeuvre : c’est maintenant ou jamais que les peuples d’Europe, avec leurs cultures enracinées (l’ennemi #1 des mondialistes), doivent être neutralisés. La seule Europe compatible avec les plans mondialistes (quels qu’ils soient : unipolaires ou multipolaires), c’est une Europe entièrement diluée culturellement, économiquement contenue et vassalisée aux intérêts des grands fonds d’investissement (d’où l’énorme pression migratoire, d’une mesure géostratégiquement tout simplement impossible ici).
Bref, ici comme aux USA et en France, mais surtout aux USA et en France, c’est le temps de s’éveiller. Ou jamais. Tant mieux si le petit exemple québécois inspire les Français à continuer la lutte de plus belle, à ne pas abdiquer, à garder courage et à tenir bon.
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